Bataille de Diégo-Suarez, première phase de l'opération Ironclad dont le but est de s'assurer le contrôle de Madagascar, alors sous contrôle du régime de Vichy.
Les Japonais pénètrent dans la province chinoise du Yunnan, en provenance de la Birmanie[1]
La garnison américaine de l’île de Corregidor (Philippines) dépose les armes : la guerre des Philippines se termine par l’occupation de l’archipel par le Japon.
Rencontre entre Heydrich, chef de la RSHA, l'office central de sécurité du Reich, et René Bousquet en vue d'accentuer la collaboration policière des deux pays[1].
Attaque généralisée des troupes de Tchang Kaï-chek sur un front de 650 km dans le but de reprendre sept grandes villes chinoises, dont Shanghai et Nankin, aux mains des Japonais[1].
Le réseau Comète, réseau belge d'évasion de prisonniers de guerre, est démantelé par la Sipo-SD[1].
Churchill annonce officiellement que les Britanniques lanceront des gaz de combat sur le Reich si les Allemands utilisent des gaz chimiques contre les Soviétiques[1].
Mise en service par les Allemands du camp d'extermination de Maly Trostenets en Biélorussie occupée, où périront entre 40 et 60 000 personnes, principalement juives[1].
Un cargo britannique, le Nicoya, est torpillé par le U-553 allemand dans le golfe du Saint-Laurent. C'est la première fois depuis cent trente ans qu'un navire ennemi entre dans les eaux intérieures canadiennes[1].
La brigade mixte germano-roumaine "Groddeck" atteint la pointe orientale de la péninsule de Kertch[1]. L'intégralité de la Crimée est donc sous le contrôle de l'Axe.
Création de l'Ordre de la guerre patriotique, destiné à honorer les combattants soviétiques ayant accompli des faits d'armes contre les troupes de l'Axe.
Signature d'un pacte d'assistance entre les Etats-Unis et le Brésil, les Américains craignant que les Allemands ne prennent pied sur le continent sud-américain[1]
Début de l'extermination par le gaz au camp d'extermination de Sobibor[1].
↑ abcdefghijklmnopqrstuvwx et y"Chroniques de mai 42", Histoire(s) de la dernière Guerre, n° 18, mai 2012.
↑ a et bJean-Marc Regnault, « La France Libre, Vichy et les Américains : Des relations difficiles dans le Pacifique en guerre. L'exemple des îles Wallis et Futuna (1940-1942) », Outre-mers, vol. 91, no 344, , p. 181–200 (DOI10.3406/outre.2004.4118, lire en ligne, consulté le )